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Pie_Rouge_de_Belgique   Bleu_du_Nord    Pie_Noire_de_Belgique   Blanc_Bleu_Belge
races_vaches/Belgique_vaches_pie-rouge.jpg

   Issue du croisement réalisé au début du 20ème siècle, entre la Pie Rouge de la région germanophone belge et la Mosane-Rhénane-Ysseloise, la Pie rouge de Belgique ressemble beaucoup à cette dernière.

   A l’origine c’était une race mixte. Désormais les animaux sont surtout élevés pour leur production laitière .

   Le type originel tend à disparaître à cause de croisements avec la race "Red Holstein".
 

   La spécialisation laitière s’est renforcée depuis la mise en place des quotas laitiers dans l'Union Européenne.

   En 1997, la production laitière était de 7.197 kg avec 4,28% de matière grasse et 3,48% de protéines.

   Ces animaux ont bon caractère.
 

   Malgré des effectifs en régression, les objectifs de sélection sont ceux d’une race laitière, tant pour la conformation de la mamelle que pour la quantité et la composition du lait, adaptées à l’économie européenne !
 

   La Pie Rouge de Belgique est la deuxième vache belge avec 22,6% des têtes, derrière la Bleu Blanc Belge (35%) et devant la Pie Noire (20,2%).

   Elle est présente dans le nord de l'Europe, mais pas en race pure, chaque pays ayant sa propre race de Pie Rouge.

 
races_vaches/Belgique_vaches_bleu_du_nord.jpg

   Elle provient de la race bruxelloise Tirlemont, du nom d’une ville située au nord de Bruxelles.

   La deuxième guerre mondiale a considérablement réduit le nombre de races locales belges.

   Au cours des dernières années, la Bleue du Nord a reçu du sang de nombreuses autres races de vaches, alternativement à viande ou laitières.

   Depuis cinq à six ans, les éleveurs tendent à privilégier ses qualités laitières.
 

   La Bleue du Nord est appréciée pour sa facilité d'élevage et sa bonne résistance au froid et à l'humidité.

   Comme toute vache mixte, sa morphologie est robuste.

   Elle est moins musclée que sa cousine, la Blanc Bleu Belge.
 

   Un programme franco-belge organise une sélection des meilleures lignées pour élargir la variabilité génétique, notamment par la gamme des taureaux disponibles pour l’insémination artificielle.

   Pour atteindre les objectifs d’amélioration de la production laitière et de maintien de la double aptitude lait-viande, les axes de sélection sont le potentiel laitier et la fonctionnalité de la mamelle.
 

   En Belgique et dans le Nord frontalier de la France.

 
Pie_Rouge_de_Belgique   Bleu_du_Nord    Pie_Noire_de_Belgique   Blanc_Bleu_Belge
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   Au début du 20ème siècle, il y avait deux types de bovins couleur pie–noire : la race des polders et celle du Pays de Herve.

   En 1966, le regroupement de ces deux types dans le même herd-book a facilité la diffusion de la race dans tout le pays.

   La Pie Noire de Belgique est devenue la version locale de la Holstein, en raison d'une internationalisation de la race liée à l'utilisation massive de reproducteurs nord-américains, néerlandais ou français.
 

   La Pie Noire de Belgique est la troisième vache du troupeau belge avec 20,2% des têtes, derrière la Blanc Bleu Belge (35%) et la Pie Rouge de Belgique (22,6%).

   Ses effectifs augmentent régulièrement, portés par ses excellentes performances laitières.

   Une de ses principales caractéristiques physiques est la taille de ses mamelles.
 

   Le programme d’amélioration a pour objectifs la bonne transformation de l’alimentation, la conformation de la mamelle adaptée à la traite mécanique et la composition du lait (cellules somatiques, protéines et taux butyreux).
 

   Exclusivement en Belgique.

 
races_vaches/Belgique_vaches_blancbleu.jpg

   Elle est née en Belgique wallonne (francophone) d’une sélection de races locales.

   Initialement des croisements ont été effectués avec des taureaux Shorthorn pour favoriser le type mixte.

   La tendance est aujourd’hui à la production de viande.
 

   Les taureaux ont une forte musculature : cuisses, garrots, jarrets et dos très larges et leur poids atteint souvent 1 300 kg !

   Chez la vache aussi, la musculature des cuisses est impressionnante. Cette caractéristique est due au gène "culard".

   Beaucoup pensent que ce gène a été trop favorisé, et certains pays du nord de l'Europe ont interdit les croisements avec d'autres races de vaches, qui se trouvaient obligées d'accoucher systématiquement par césarienne…
 

   La sélection a pour objectif la réduction des problèmes de fertilité et de vêlage et l’amélioration de la qualité de la viande.

   Le programme vise des souches utilisées pour le croisement terminal - en vue de la boucherie - à partir d’autres races bovines dans le monde, qu’elles soient de type laitières ou rustiques, voire de races zébuines.
 

   Elle représente 35% du cheptel belge qui est de 1.400.000 têtes, devant la Pie Rouge de Belgique (22,6%) et la Pie Noire de Belgique (20,2%).

   Cette vache, casanière, qui n’avait pas beaucoup quitté son « plat pays » d'origine commence à se développer en France.

 

 

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