|   |     Le bœuf de Kobe  est l'appellation d'origine d'une production agricole japonaise qui se réfère
         à une variété particulière de viande de bœuf, provenant de la race bovine tajima (un rameau appartenant
         à la race wagyu ) , élevée selon une stricte tradition dans la préfecture
         de Hyōgo au Japon, dont la ville principale est Kobe.     Cette viande persillée est généralement appréciée comme étant savoureuse et tendre.   
         Le persillé de la viande (graisse intramusculaire : à l'intérieur
         plutôt qu'autour des muscles) est une des causes principales de la saveur de beurre sans égal du wagyu,
         de sa tendreté et de son goût délicieux2. Par ailleurs, le gras de la viande resterait plus pauvre en cholestérol
         que celui d'autres races.    Le bœuf
         de Kobe est une de ses variétés les plus raffinées et les plus prisées (avec les bœufs de
         Matsusaka et d'Ōmi)2.    
         Pour obtenir le label de "bœuf de Kobe", les éleveurs doivent se soumettre à des conditions
         d'élevage très strictes.    Certains éleveurs
         leur prodiguent des soins particuliers tels que des séances régulières de massage,
         écoute de musique classique et ajout de bière à
         leur eau, mais la légende selon laquelle cela donnerait un meilleur gras n'a toujours pas été vérifiée.
         Cette variété de wagyu est consommée dans les grands restaurants.  La viande
         de bœuf de Kobe peut être découpée en steak, sukiyaki, shabu-shabu, teppanyaki, etc.  |    |  Japon Officiel
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  |   |   Le shabu-shabu  est une variante japonaise de
         la fondue chinoise, proche du sukiyaki. Shabu-shabu est l’onomatopée japonaise correspondant au bruit de la viande plongée dans le bouillon chaud Le shabu-shabu traditionnel
         utilise seulement de fines tranches de bœuf, mais le porc est parfois aussi utilisé, notamment dans le sud de
         Kyūshū. La viande est accompagnée de tofu et de légumes
         comme le chou chinois et les champignons shiitake coupés finement. Certains ajoutent des nouilles
         udon.   
 Les restaurants spécialisés utilisent un bouillon
         de bœuf et de légumes, mais un bouillon d’algues kombu est également courant.    Le récipient traditionnel est une marmite
         (nabe) en terre cuite, installé au milieu de la table. Plus simplement, une grande casserole posée
         sur un réchaud ou un appareil électrique peuvent se trouver dans les ménages ou dans certains restaurants.    Les ingrédients sont plongés
         dans le bouillon en ébullition puis trempés dans deux sauces froides.     L’une, le gomadare, parfumée au sésame, est obtenue
         en mélangeant la sauce de soja au sésame finement broyé.     L’autre, le ponzu, est un mélange de jus de yuzu ou d’orange amère à la sauce de soja.  |    |  |    Dans l'ordre , on démarrer
         le bouillon en y mettant le chou puis les champignons.  
         On commence alors par la viande puis en alternance le tofu .  
         On termine en terminant par les nouilles udon qui peuvent être remplacées par des nouilles cellophane shirataki ou de konjac.   Pour  ce , on dispose
         de petits bols que l'on rempli de ces nouilles avec du  jus de cuisson auquel on ajoute un peu de sauce ponzu et des cébettes
         émincées . On fini en buvant
         ce bouillon.  |  Le ponzu est un assaisonnement japonais produit à partir
         de sauce soja , de vinaigre, de jus d'agrumes acides et/ou doux (orange, yuzu), de sucre, d'acide citrique, d'algues, de bonite séchée |  
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         Le shabu-shabu est d'origine mongole, variante de la fondue mongole,     Il s’agit d’une recette pékinoise de
         l’époque de la dynastie Yuan, lorsque la Chine était sous le joug de l'empire mongol, le shuan
         yangrou  "viande de mouton trempée dans l'eau bouillante" , utilisant des tranches fines de mouton .    En 1952, un restaurant d’Osaka, le Suehiro,
         importa ce plat en l'adaptant au goût japonais. Le mouton n’étant pas très courant au Japon, il
         a donc été remplacé par le bœuf, très apprécié des Japonais, surtout celui
         de Kobe.    Trois ans plus tard, un restaurant tokyoïte, le Zakuro, se
         mit à servir le shabu-shabu. Rapidement, ce plat devint populaire dans tout le Japon.  |    |  |   |   |    |  |  ▲ |  
  |   |      Le sukiyaki est un plat japonais, parfois appelé fondue japonaise.     C'est un nabemono, une sorte de fondue (ou ragoût), proche du shabu-shabu. On fait cuire du bœuf et des légumes crus, arrosés
         d'une sauce warishita .   Sauce Warishita pour
         le Sukiyaki1/2
         cup de mirin ou vinaigre de riz 1/2 cup de sauce soja 1/2 cup de bouillon dashi 
  Dans
         une petite casserole, portez à ébullition le saké et le mirin ou (vinaigre de riz) . Coupez
         le feu et ajoutez la sauce soja et la cassonade. Une fois la cassonade dissoute, ajouter le bouillon
         dashi   |  
  La viande de bœuf est coupée
         en très fines tranches d'environ 2 mm .   De nombreux autres ingrédients peuvent être ajoutés
         comme des champignons shiitake ou enokitake, du shungiku (feuilles de chrysanthème),
         des nouilles shirataki de konjac, du chou chinois ou du tofu   |   |  Nouilles de Konjac
  | shungiku 
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    Une
         marmite spéciale en fonte, appelée sukiyaki-nabe, est placée au centre de la table avec la sauce warishita.    Chacun fait cuire les aliments de son choix dans la marmite puis les trempe dans un petit récipient
         individuel dans lequel un œuf a été cassé et battu.     Le sukiyaki est très apprécié
         par les Japonais, c'est un plat de famille très gustatif   |    |   |  | La Garniture  | La viande coupées fines
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  |   |     Le teppanyaki , littéralement "grillé sur une plaque en fer" est un mot japonais désignant un type de cuisson japonaise où l'on utilise une plaque chauffante pour
         cuire les aliments.     En Occident, le mot désigne généralement un style de cuisine fusion originaire du Japon dont la création
         est attribuée à la chaîne de restaurants japonaise Misono en
         septembre 1945 à Kobe , mêlant l'utilisation du traditionnel teppan japonais et des ingrédients occidentaux (en particulier du bœuf), qui a été
         popularisé sous forme de "dîner spectacle" par la chaîne américaine Benihana en 1964 .  |    |     Après cette création, c'est aux États-Unis d'Amérique que
         le teppanyaki prend sa forme occidentale actuelle.     La chaîne Benihana a rendu ce type de cuisine populaire en y ajoutant une dimension de spectacle.     Le fondateur du premier restaurant
         de la chaîne Rocky Aoki (en) voulait en effet rendre la cuisine japonaise plus populaire auprès des Américains ;
         son premier restaurant étant situé près de Broadway, il développa
         un concept de « dîner-spectacle » où l'on venait autant pour manger que pour voir le chef
         préparer les plats.     Il a aussi choisi des chefs capables d'assurer un show autour de la préparation des aliments    Dans sa déclinaison occidentale,
         les ingrédients traditionnellement utilisés pour le teppanyaki sont le bœuf, les crevettes, les coquilles Saint-Jacques, le poulet, les œufs
         de poule et différents légumes. On utilise de l'huile de soja pour
         la cuisson.   |    |    |     |   |   prix au kilo
         : 400 euros et plus à l'achat au restaurant ,
         environ 250 euros la pièce de 200 gr avec les garnitures et sauces   |  |  ▲ |  
  |   |     Yakiniku
         "viande grillée" est une méthode japonaise
         de cuisson des viandes et des légumes au charbon de bois, au gaz ou
         sur une plaque chauffante. L'ingrédient principal est du bœuf mariné,
         bien qu'on puisse trouver d'autres viandes comme le poulet ou
         les abats.     Le yakiniku se sert également
         accompagné de légumes comme des piments, des carottes, des champignons, des oignons, des kimchi (choux fermenté coréen), etc.     Bien que non conventionnel, il peut arriver
         que l'on serve aussi du poisson.   
         Le terme yakiniku a commencé à
         être associé avec la cuisine d'origine coréenne .   Alors que certains
         tendent à penser que le yakiniku vient de Corée, il est né
         dans le Japon d'après-guerre   |    |     Des systèmes de barbecue ventilés présentés en mars 1980 , se répandirent
         rapidement à travers tout le Japon car ils permettaient aux convives de manger du yakiniku dans
         une salle sans fumée, ce qui fit augmenter grandement la clientèle.    La popularité du yakiniku a été
         dopée en 1991 quand les restrictions sur l'importation de bœuf furent assouplies ce qui conduisit à une
         baisse des prix du bœuf.     Toutefois,
         l'industrie bovine subit un contrecoup sans précédent en 2001 avec l'apparition de la « maladie de
         la vache folle » au Japon.    En Amérique
         du Nord, en Chine et à Taïwan, le yakiniku est aussi appelé
         « barbecue japonais  |    |      Dans un restaurant de yakiniku, les convives commandent différents types d'ingrédients découpés
         crus qui sont apportés à table.    Ces ingrédients sont cuits plusieurs morceaux à la fois
         tout au long du repas, par les convives, sur un gril intégré à la table. Les aliments sont ensuite trempés
         dans des sauces diverses .    La sauce la plus courante est préparée à partir de sauce de soja mélangé à du saké, du mirin, du sucre,
         de l'ail, du jus de fruit et du sésame . On utilise aussi souvent de la sauce
         soja, des sauces à base d'ail et d'échalote ou
         encore à base de miso.    |    |    |    |   |  
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                  | TOUTES LES SAUCES | 
                
             
          
      
      
      
    
   
   
   
   
   
   
   
   
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